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Onze internationaux français porteront à Allemagne 2006 le même numéro qu'à Corée/Japon 2002.

Neuf Américains conserveront le même numéro qu'il y a quatre ans, contre huit pour l'Italie, le Costa Rica et l'Arabie Saoudite. Sur les onze Brésiliens sacrés champions du monde en 2002, seuls quatre porteront le même identifiant : Cafu (2) Lucio (3), Roberto Carlos (6) et Ronaldo (9).

Par ailleurs, plusieurs néophytes en Coupe du Monde de la FIFA auront la lourde responsabilité de porter le numéro d'une des légendes de leur pays. Pour l'Argentine, Juan Román Riquelme jouera avec le 10, qui a été la propriété de Mario Kempes (1978) et de Diego Maradona (1982-1994). Quant à Lionel Messi, il devra faire honneur au 19, numéro du capitaine argentin Daniel Passarella en 1978.

Garrincha (1962) et Jairzinho (1970-74) ont multiplié les exploits avec le numéro 7 brésilien dans le dos. Charge à Adriano de les imiter. S'il joue, Wayne Rooney sera le dépositaire du 9 que Bobby Charlton avait fièrement arboré lors de la Coupe du Monde de la FIFA 1966 remportée par son pays.

Si le football et le sport sont entrés dans l’ère moderne, nul n’y aura autant contribué que celui qui fut Président de la FIFA de 1974 à 1998. C’est aussi une vie dans le siècle. Du fond de ses yeux bleu acier, Joao Havelange a vu les Olympiades de Berlin en 1936, la victoire de l’Uruguay au Maracana en 1950 et douze phases finales de Coupe du Monde depuis. En exclusivité pour FIFAworldcup.com, le Président d’Honneur de la FIFA a confié quelques réflexions sur l’épreuve reine du sport mondial.

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A 87 ans passés, Jean-Marie Faustin Godefroid de Havelange a gardé la carrure de l’athlète qu’il fut. Nageur olympique à Berlin, joueur de Water-Polo aux Jeux d’Helsinki en 1952. Son père, disparu alors que le jeune Jean-Marie n’avait que dix-sept ans, avait quitté la Belgique pour s’installer au Brésil. « Avec son mélange des cultures, de races et de religions, le Brésil est un pays à part. Des Africains, des Asiatiques, des Européens, des Indiens : il y a de tout dans mon pays, si bien qu’à la FIFA je n’ai rien appris de nouveau sur les hommes ».

En 1958, Havelange occupe la présidence de la confédération brésilienne des sports, dans laquelle se trouvaient le football professionnel et 23 autres sports amateurs. Le football est roi. « C’est l’unique sport qui rentre chez vous, chez moi, partout. On peut mesurer l’importance du football par sa pénétration profonde dans la société, dans le monde entier, où il réunit toutes les ethnies ». Avec Pelé dans la Seleçao, il conduit trois fois les siens à la victoire en Coupe du Monde. La Coupe Jules Rimet part pour le Brésil en 1970.

Havelange marche sur les pas de son illustre prédécesseur à la tête de la FIFA. Il en prend la présidence en 1974 et la lâchera 24 ans plus tard. Celui que des détracteurs ont pu qualifier de régner sur la FIFA en « autocrate » répond simplement : « La première fois que je suis arrivé à la FIFA, à Zurich, j’ai trouvé une vieille maison et 20 dollars dans la caisse. Le jour où je suis parti, j’ai laissé des propriétés et des contrats en ordre pour plus de 4 milliards de dollars. Ça va bien ? »

Le football était devenu planétaire. Havelange avait compris l’importance décisive de la télévision. Avec son Directeur du développement puis Secrétaire Général « Sepp » Blatter, il avait su nouer des partenariats stratégiques avec les acteurs clefs du sport-business, qui aujourd’hui encore soutiennent la FIFA. C’est la naissance des compétitions de jeunes et des grands programmes de développement.

C’est aussi l’élargissement de la FIFA avec l’entrée fracassante de la Chine dans la famille du sport mondial. Un succès personnel pour Havelange, qui aura visité trois fois chacun des 185 pays qui composent alors la Fédération internationale. « J’ai 26,000 heures de vol. Soit l’équivalent de trois années passées en avion. Il y a un seul pays où je ne suis pas allé, c’est l’Afghanistan. Parce que on ne pouvait pas y aller ». Un pays qui lui aussi, s’apprête à rentrer dans l’ère moderne.

Retour sur plus d’un demi-siècle de Coupes du Monde de la FIFA

Vous avez encore été près de 30 000 à voter pour le dernier sondage de FIFAworldcup.com. Quel joueur convoqué pour Allemagne 2006 est la plus grande surprise des listes des sélectionneurs ? Pour vous cela ne fait aucun doute : il s’agit du jeune buteur anglais Theo Walcott.

Le joueur d’Arsenal a bénéficié d’un plébiscite pour finir à la tête de ce sondage. Avec 47 % des voix, Walcott devance la catégorie « Autre » (12%), le portier brésilien Rogerio Ceni (10%), l’Allemand David Odonkor et l’Argentin Julio Cruz (9% chacun), le latéral français Pascal Chimbonda (6%), le Japonais Seiichiro Maki (5%) et enfin l’attaquant togolais Robert Malm (2%).

A seulement 17 ans – et aucun match en professionnel –, Theo Walcott a été appelé par Sven-Goran Eriksson en réponse aux interrogations qui entourent la santé de Michael Owen mais surtout de Wayne Rooney. Depuis sa convocation, le frêle attaquant a fait d‘encourageants débuts internationaux face à la Hongrie le 30 mai dernier.

Pour les internautes de FIFAworldcup.com, le nom de Walcott revient avec insistance dans toutes les langues. Seuls les fans germanophones (David Odonkor, 57%) et lusophones (Rogerio Ceni, 45%) ont élu un autre joueur. Mais dans les deux cas le jeune anglais est placé juste derrière.

En attendant si Theo Walcott entrera dans l’histoire en devenant l’un des plus jeunes joueurs à évoluer dans une Coupe du Monde de la FIFA, participez à notre nouveau sondage et votez pour l’équipe qui a été la plus impressionnante lors des matches de préparation. Votez ici.

Les résultats
Theo Walcott (ENG) 47%
Autre 12%
Rogerio Ceni (BRA) 10%
David Odonkor (GER) 9%
Julio Cruz (ARG) 9%
Pascal Chimbonda (FRA) 6%
Seiichiro Maki (JPN) 5%
Robert Malm (TOG) 2%

C'est dimanche, peu avant midi que le jeune homme après s'être installé devant le vestibule de sa maison s'est arrosé de carburant, vraisemblablement de l'essence, avant de mettre le feu sur son corps à l'aide d'un briquet. L'homme, qui apparemment n'a pas de famille dans la localité, selon les sources municipales, a été transféré dans un état très sérieux à l'h

C'est dimanche, peu avant midi que le jeune homme après s'être installé devant le vestibule de sa maison s'est arrosé de carburant, vraisemblablement de l'essence, avant de mettre le feu sur son corps à l'aide d'un briquet. L'homme, qui apparemment n'a pas de famille dans la localité, selon les sources municipales, a été transféré dans un état très sérieux à l'hôpital Carlos, où dimanche peu avant 17h (heure locale) il était encore dans un état critique. La victime faisait partie de ces nombreux sénégalais qui vivent dans la zone en cette période de l'année du fait du travail saisonnier. Le sénégalais qui a été sauvé de justesse par ses voisins qui ont entendu les cris de la victime est bien connu dans la rue où il habitait même s'il y résidait depuis peu.
C'est à l'aide d'extincteurs que les voisins ont pu sauver le sénégalais qui allait mourir en pleine rue. Aucun des voisins interrogés par le journal La Opinion de Malaga n'est en mesure d'affirmer les causes exactes qui ont poussé le jeune sénégalais à cette tentative de suicide. Tous indiquent qu'il menait pourtant une « vie rangée ».

ôpital Carlos, où dimanche peu avant 17h (heure locale) il était encore dans un état critique. La victime faisait partie de ces nombreux sénégalais qui vivent dans la zone en cette période de l'année du fait du travail saisonnier. Le sénégalais qui a été sauvé de justesse par ses voisins qui ont entendu les cris de la victime est bien connu dans la rue où il habitait même s'il y résidait depuis peu.
C'est à l'aide d'extincteurs que les voisins ont pu sauver le sénégalais qui allait mourir en pleine rue. Aucun des voisins interrogés par le journal La Opinion de Malaga n'est en mesure d'affirmer les causes exactes qui ont poussé le jeune sénégalais à cette tentative de suicide. Tous indiquent qu'il menait pourtant une « vie rangée ».

La Côte d'Ivoire s'est rassurée en clôturant sa série de matches de préparation au Mondial-2006 de football sur une nette victoire face à une faible équipe de Slovénie dimanche (3-0) à Bondoufle en banlieue parisienne, avec un doublé de Didier Drogba à la clé. De son côté le Ghana a créé la surprise en battant la Corée du Sud par 3 buts à 1. Le match s'est déroulé à Edimbourg en Allemagne.

Une contre-performance aurait vraiment fait désordre. Car si les Eléphants, et surtout Drogba, muet face à la Suisse (1-1) et au Chili (1-1), se sont rassurés sur leur capacité offensive dans un stade conquis à leur cause, le faible niveau des Slovènes oblige à tempérer leur performance.


Rarement dangereux, les Slovènes, complètement dépassés athlétiquement par des Ivoiriens bien plus affûtés, se sont contentés de leur rôle de faire-valoir, sans plus.


Il a suffi d'une bonne passe à Drogba qui déposait son défenseur et trompait tranquillement le gardien Mavric (36e), et d'une tête du même Drogba sur centre de Dindane trois minutes plus tard pour assurer un travail poli par Akale à 20 minutes de la fin (72e).


La bonus de cette rencontre sans grand enseignement est venu de là où ne l'attendait pas. Après la danse robotique de Crouch dévoilé par l'Angleterre, les Eléphants ont riposté en lançant la leur, plus collective celle-ci, venue ponctuer les deux buts de Drogba: quelques pas décalés conclus par un "olé". Une danse que les Ivoiriens voudront à coups sur rééditer lors de leur premier match face à l'Argentine le 10 juin.

La Corée du Sud, qui sera le deuxième adversaire de la France au sein du Groupe B, s'est inclinée 3-1 contre le Ghana (mi-temps 0-1), à Edimbourg, en match de préparation de la Coupe du monde de football.


Buteurs: pour la Corée du Sud, Eul-Yong Lee (49)


pour le Ghana, Assamoah Gyan (35 sp), Sulley Muntari (62), Michael Essien (81).